bougeoir violet // porta candela viola
dimanche 23 juin 2019
domenica 23 giunio 2019
"clic" sur la photo pour l'agrandir
"clic" sulla foto per farl più grande
Aujourd’hui je vous montre une dentelle violette pour bougeoir.
Oggi vi mostro un pizzo viola per porta candela
C’est un modèle de « Sarl MIDON », qui vend aussi le bougeoir en verre où placer la dentelle.
E’ un modello di « Sarl MIDON », che vende anche il porta candela in vetro dove mettere il pizzo.
C’était le printemps quasi estival la captative saison et les vacances par les rues plus belles et infréquentées. C’était le pont de nouveau traversé les arbres tout verts retombant sur la berge, le fonctionnaire sensible se baladant avec son groupe afin de lui montrer et faire comprendre beautés visibles et invisibles. C’était la vieille qui par métier ou par envie ou par oubli de qui elle était recueillait les mégots et les vieilles paperasses les minuscules restes des passages parfaite et prompte comme si c’était de l’amour derrière les déchets distraits ou volontaires dans sa sacoche dedans ses poches, les coins certains, les postes fixes assurés de sûrs rebuts. C’était les chats crasseux et avilis rescapés de la nuit sous la même voiture dans le même coin de porche qui dormaient en toute possible occasion. C’était le fleuve dense et marron qui en coulant laissait ses charges encombrantes les laissait sécher au soleil les touchant en passant et elles, arrêtées désormais à jamais contre tout courant empêchées de piquer des deux. C’était le bruit sans raison flottant et incertain presque endormi les jurons se mêlant à la télévision l’heure du déjeuner les autos au loin et les sirènes, les infos locales des morts par homicide d’homme et de nature. C’était la langueur froide des escaliers, c’était mon visage pâle qui m’interdisait le départ et la mer.
PATRIZIA CAVALLI Mes poèmes ne changeront pas le monde |
Era la primavera quasi estiva la gelosa stagione e la vacanza per le strade più belle e infrequentate. Era il ponte di nuovo attraversato gli alberi verdi cadenti sulla riva, l’impiegato sensibile a passeggio insieme al gruppo per mostrare e far capire le bellezze visibili e invisibili. Era la vecchia che per suo mestiere o per sua voglia o per dimenticanza di chi era raccoglieva les cicche e le cartacce i minuscoli resti dei passaggi perfetta e veloce come fosse amore dietro i rifiuti distratti a volontari dentro il suo sacco dentro le saccocce, gli angoli certi, le poste fisse sicure di sicuro scarto. Erano i gatti sporchi e aviliti superstiti alla notte sotto la stessa macchina dentro lo stesso portone che dormivano a ogni possibile occasione. Era il fiume denso e marrone che correndo lasciava i suoi carichi ingombranti li lasciava a asciurgarsi al sole toccandoli passando e loro fermi ormai per sempre contro ogni corrente impediti alla corsa dallo sprone. Era il rumore senza ragione svogliato e incerto quasi addormentato le bestemmie insieme alla television l’ora del pranzo le macchine lontano e le sirene, le notizie comuni delle morti per omicidio di uomo e di natura. Era il languore freddo delle scale, era la faccia mia pallida che mi impediva la partenza e il mare.
PATRIZIA CAVALLI Le mie poesie non cambieranno il mondo |
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 9 autres membres